Nos spécialités
« J’ai construit ma carrière autour de cinq spécialités qui continuent à me passionner et pour lesquelles j’ai acquis une grande expérience »
Docteur Benoît Goudot
Opérer la hanche par voie antérieure
Si l’on souffre de l’articulation de la hanche (arthrose de hanche ou coxarthrose) avec des douleurs suffisamment importantes pour gêner l’activité quotidienne professionnelle mais également de loisirs (marche, sports…) et si les radiographies confirment que cette arthrose de hanche est évoluée, alors il faut envisager la mise en place d’une prothèse totale de hanche. La prothèse totale de hanche est une intervention remarquable qui, lorsqu’elle est réalisée par voie antérieure, donne des résultats tout à fait exceptionnels avec un retour à la normale pour toutes les activités physiques, professionnelles et de loisirs.
L’opération de la hanche par voie antérieure peut se réaliser en ambulatoire car elle préserve intégralement les muscles, les tendons et les parties molles contrairement aux autres approches (postérieure, latérale ou par double incision). Cette approche de la hanche est réalisée avec une technique mini-invasive. La maîtrise de cette technique nécessite un apprentissage long et une grande rigueur.
Véritable pionnier de la prothèse de hanche par voie antérieure dans notre région, le Docteur Benoît Goudot en a acquis une maîtrise remarquable depuis 2010.
Cette intervention peut se réaliser soit en ambulatoire (entrée le matin, sortie en fin d’après-midi) ; soit au cours d’une très courte hospitalisation de deux ou trois jours.
Comment bien mettre une prothèse totale de hanche :
Bien mettre une prothèse totale de hanche est difficile. Le positionnement des pièces prothétiques (tige fémorale et cotyle prothétique) doit être bien respecté. Pour bien poser une prothèse de hanche il faut satisfaire trois conditions :
- Éviter l’inégalité de longueur. Ceci est très important. En effet si la tige prothétique descend trop ou ne descend pas assez, la longueur du membre inférieur va en être modifiée et la tension des muscles fessiers en sera perturbée et pourra entrainer une boiterie. C’est la raison pour laquelle le Dr Benoît GOUDOT utilise une formule mathématique qu’il a mise au point (vidéo sous-jacente) et qui permet d’éviter les inégalités de longueur de plus de 1 cm. Ainsi Il faudra réaliser un bilan radiographique EOS ( https://www.eos-imaging.com/fr/notre-expertise/solutions-imagerie/systeme-eos ) qui permet de calculer de façon précise l’inégalité de longueur pré-opératoire et dont il tiendra compte pour éviter l’inégalité de longueur post-opératoire.
- Éviter la luxation de la prothèse. Il s’agit d’une complication fréquente survenant dans environ 10 % des cas lors de la pose des prothèses de hanches. Cette luxation est la conséquence de la lésion de la musculature postérieure de la hanche qui ne permet plus de maintenir la hanche dans son logement. Pour éviter cette luxation, le Dr GOUDOT utilise la voie d’abord antérieure de HUETER (cicatrice sur le devant) qui n’abime absolument pas la musculature et qui a fait totalement disparaître la luxation de la prothèse de hanche.
- Restaurer la mobilité de la hanche. Le docteur Benoît GOUDOT met en place un cotyle conventionel à très haute mobilité. Ce qui permet de retrouver une mobilité de hanche tout à fait normale. Ceci n’est pas le cas lorsque l’on utilise un cotyle à double mobilité qui peut éviter les luxations mais qui a l’énorme inconvénient d’enraidir la hanche !
Ainsi stabilité, mobilité et longueur adaptée permettent au patient de retrouver une hanche normale et de profiter de ses loisirs en ayant complètement oublié son opération.
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Le genou
La prothèse du genou
Si l’on souffre de l’articulation du genou avec des douleurs suffisamment importantes pour gêner l’activité quotidienne professionnelle mais également de loisirs (marche, sports…), et si les radiographies confirment que cette arthrose de genou ou gonarthrose est évoluée, alors il faut envisager la mise en place d’une prothèse de genou. On distingue des prothèses partielles du genou (unicompartimentales) si une partie de l’articulation est saine, et des prothèses totales du genou si tous les compartiments du genou sont usés.
La prothèse totale de genou est une remarquable intervention qui donne de très bons résultats avec un retour à une très bonne qualité de vie dans l’année qui suit l’opération.
Cette intervention peut se réaliser soit en ambulatoire (entrée le matin, sortie en fin d’après-midi) ; soit au cours d’une courte hospitalisation de deux ou trois jours.
La réparation des ligaments
La rupture du ligament croisé antérieur est un accident fréquent chez les patients sportifs qui pratiquent surtout les sports de pivot (football, rugby, tennis, ski etc…) mais elle peut survenir aussi chez des patients plus âgés après une mauvaise chute en se tordant le genou.
Cette rupture du ligament antérieur va entraîner un défaut de stabilité dans l’articulation empêchant les sportifs de reprendre le sport qu’ils pratiquaient auparavant avec confiance. Une intervention chirurgicale ou ligamentoplastie est donc nécessaire et consiste à remplacer le ligament croisé antérieur par un nouveau ligament pris au dépend d’un tendon du genou. Cette intervention est réalisée en ambulatoire sous arthroscopie (entrée le matin, sortie en fin d’après-midi) et avec une anesthésie loco-régionale dans le cadre d’une RRAC (Récupération rapide après chirurgie).
Le pied
La pathologie la plus fréquente que l’on rencontre en chirurgie du pied c’est l’hallux valgus qui est la déformation du gros orteil avec l’apparition d’un « oignon » dans le langage populaire.
La seule façon de redresser ce gros orteil est de pratiquer une intervention chirurgicale qui permettra de redresser et d’aligner ce gros orteil. La technique la plus répandue actuellement est la technique dite de « double ostéotomie » (ostéotomie du métatarsien et ostéotomie de la phalange), qui permet de réaligner le gros orteil avec une petite incision, le tout sous anesthésie loco-régionale en ambulatoire.
L’intervention chirurgicale dure environ 45 minutes. Un pansement est réalisé au bloc opératoire et le patient peut sortir en fin de journée avec des ordonnances (médicaments contre la douleur et pour réaliser le pansement).
L’épaule
La rupture de la coiffe des rotateurs est une pathologie fréquente survenant en général chez les patients au-delà de 60 ans, soit dans les suites d’une chute ou dans le cadre de leur activité sportive ou professionnelle.
La rupture de cette coiffe des rotateurs entraîne des douleurs chroniques de l’épaule avec une mobilité et une fonction diminuées de l’épaule nécessitant que l’on intervienne pour réparer ces tendons lorsque cela est possible.
L’intervention se pratique sous arthroscopie, soit en ambulatoire (entrée le matin, sortie en fin d’après-midi), soit au cours d’une courte hospitalisation de 48 heures avec une récupération rapide après chirurgie.
Le résultat définitif d’une telle opération se mesure dans l’année qui suit l’intervention.